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Pratiques et Techniques de la Plaisance

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Accueil du site > Articles > Entretenir le bateau > Construction - Réparations > Dé-grippage d’un enrouleur de génois FACNOR

Rubrique : Construction - Réparations

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Dé-grippage d’un enrouleur de génois FACNORVersion imprimable de cet article Version imprimable

Publié Juillet 2016, (màj Juillet 2016) par : achab  image   

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Mots-clés secondaires: corrosion , entretien

Dé-grippage d’un enrouleur de génois FACNOR

J’ai monté en 2007 sur mon bateau un enrouleur de génois FACNOR type LS 180. J’ai eu récemment un défaut de fonctionnement qui m’a conduit à le démonter. Les données sur ce type d’enrouleur étant inexistantes sur le web, j’ai pensé que quelques notes pourraient être utiles à d’autres utilisateurs de matériel de ce type.

Facnor fournit un « éclaté », qui est une simple liste de pièces. Les plus importantes (tambour, émerillon) valent chacune environ la moitié du prix complet. http://www.facnor.fr/fr/societe/catalogue/fichiers/spareparts_2016_indd.pdf

Les circonstances.

A la remise à l’eau en Mai 2016 après hivernage de 6 mois à Nea Paramos (Grèce), nous avons constaté une rotation de l’enrouleur très difficile tant au déroulement qu’à l’enroulement. Nous avons contrôlé le cheminement de la bosse et la raideur de l’étai, puis affalé le génois pour contrôler l’émerillon. Celui-ci était nettement moins dur que le tambour.

  • Nous avons introduit un peu de WD40 par la partie supérieure et rehissé le génois.
  • Au cours des semaines de navigation, l’enroulement et le déroulement sont devenus de plus en plus durs, nous obligeant à nous mettre à deux pour enrouler et à aller à l’avant pour dérouler.
  • Pour l’estivage de juillet aout, j’ai dû me résoudre à sortir le tambour et l’émerillon pour les démonter.

Les pièces


Voici un croquis pour nommer les pièces autour du tambour.
  • Le moyeu est un tube en alu solidaire de la cadène d’étai via une grosse rondelle qu’il traverse en partie.
  • L’étai passe à l’intérieur pour rejoindre la cadène.
  • Le tambour est composé d’un gros tube en alu tournant autour du moyeu et de deux flasques. Il est solidaire du profil via une pièce en alu.
  • Sur mon enrouleur, j’ai l’option « avale ridoir » et donc cette pièce est assez longue (photo 1), mais elle peut être plus courte sans l’option.
  • Le tambour est solidaire de la pièce « avale-ridoir » par 4 vis de diamètre 6, longueur 100 à tête allen. On en voit une sur la photo à droite.

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Le démontage


Pendant la période de navigation, j’ai mis du wd40 sur les vis pour préparer la dépose de l’avale-ridoir et accéder au palier.

  • J’ai pu en décaler 2. Les 2 autres ont résisté et j’ai dû me résoudre à percer les têtes. En effet, ces vis sont vissées dans une rondelle inox qui offre une résistance normale, mais traversent aussi le tube du tambour en alu, avec une corrosion très importante.
  • Ceci m’a permis de désolidariser l’avale-ridoir et d’accéder à la partie supérieure du roulement (photo 2). Il a fallu aussi décaler à la pince étau les deux vis résistantes, ce qui n’a vraiment pas été facile.

- 

- 

Dépose du joint et du circlip

  • L’avale-ridoir étant déposé, on accède au palier supérieur, qui se présente comme les deux paliers du curseur-émerillon : un joint spi recouvre un circlips (photo 3). La dépose du joint est facile. Le circlips n’est pas facile à sortir avec les outils du bord. De toute façon ça ne sert à rien, car dessous, il y a juste une bague en synthétique qui est impossible à extraire du tambour.
  • Seul le joint spi garde un peu de graisse émulsionnée d’eau.

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Le palier inférieur

Il a été impossible d’accéder au palier inférieur. N’ayant pas d’outil à bord pour désolidariser la rondelle du moyeu, j’ai confié la chose au chantier AGMAR de Leros. Ils me l’ont rendue ¼ h plus tard en disant qu’ils n’avaient rien pu faire et qu’ils ne voulaient pas prendre le risque de casser la pièce.
Je suppose qu’il n’y a pas de roulement, mais simplement deux paliers enfoncés à force dans le tambour (resp. l’émerillon) et bloqués par circlips. Dans les deux cas, le moyeu a peu de jeu longitudinal. Je suppose qu’il doit y avoir une collerette médiane. Bref, le montage ressemble à ce qui existe pour les paliers de safran.

Le traitement

Selon la méthode adoptée pour les paliers de safran, j’ai envoyé du gasoil pour nettoyer, rincé abondamment, mis un peu de produit vaisselle pour lubrifier les paliers, replacé les circlips et joints spi après les avoir re-graissés.

Conclusion

Il me semble que le dysfonctionnement peut être attribué à l’entrée d’eau salée en dépit du joint spi, qui a conduit à un début de corrosion au cours des 6 mois d’hivernage. Il est probable qu’en navigation, l’étrave pénétrant dans la vague, le tambour soit submergé à certains moments.
Je ne sais pas quel traitement préventif appliquer. Avant l’hivernage, j’arrose abondamment d’eau douce tout le gréement, mais le palier du tambour est très protégé par l’avale ridoir et le joint spi. J’essaierai au prochain hivernage de remonter un peu l’avale ridoir après avoir desserré les 4 vis, pour ensuite arroser abondamment. Cela aura au minimum comme avantage d’éviter la corrosion des vis dans le tambour.
J’ai remarqué que certains bateaux emmaillotent le tambour et l’émerillon dans des sacs plastiques pour l’hivernage. A mon avis, ça ne sert à rien au moins sur ce type d’enrouleur, car l’entrée d’eau de pluie est peu probable en l’absence de rotation, et de toute façon inoffensive.

UP


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21 Messages de forum

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  • 15 juillet 2016 11:54, par yvesD écrire     UP Animateur

    Bel article, ça me presque regretter d’avoir un rotostay (de 1990 tout de même) plutôt qu’un facnor ;-)

    Quelque soit la marque de l’enrouleur, l’hivernage de ce qui tourne et se grippe est un vrai problème.
    Quelles sont le solutions pratiquées par les lecteurs : rinçage à l’eau douce, water dispersant, huile, suif, bâche, autre ?

    Sur le facnor d’un copain j’avais eu pas mal de difficulté à désassembler les vis inox d’accouplement des éléments alu du profilé (et de l’émerillon en tête de mat aussi, je crois). Ce sujet est évoqué sur PTP à grand coup de mastinox ou de ruban teflon isolant les pas de vis. Y a aussi (de mémoire) de l’alternance de chauffage et d’azote liquide histoire de constituer et d’augmenter un vide entre inox et alu. A retrouver avec le moteur de recherche.
    Là encore, vous faites comment avec vos inox sur alu ?

    Répondre à ce message

  • Ce n’est pas un Facnor, certes, mais le mien vient de rendre l’âme, dans le très mauvais clapot du détroit de Messine... J’avais déjà effectué une réparation, il y y a 4 ans, et archivé une excellent guide d’utilisation qui pourra être utile à d’autres. Je le mets en PDF jointe.
    En relisant le document, je me suis rendu compte qu’ils déconseillaient fermement l’usage du WD40...
    Michel

    Répondre à ce message

    • Bonjour
      Anticipant de naviguer en Grèce...(encore un)...
      J’ai lu attentivement votre article. Mais au final, est-ce que cela tournait très bien ?
      Pensez -vous qu’après la saison il serait bon de faire tremper le tambour + émerillon dans de l’eau très chaude, et de renouveller comme pour la morue salée puis immersion dans un grand sceau de GO ?
      Le joint spi appéciera -t-il ? That’s the question
      Et le tambour mettra un certain temps à s’égouter avant de saloper le pont...
      Au xx iéme siècle j’avais un voilier de 12 m et un enrouleur Goiot. Il m’a fallu moins de temps pour le monter... que de lire le pdf joint par Yoruk dans l’article.
      A part un coup de jet d’eau de temps à autre, c’est le seul entretien que je faisais, je n’ai jamais rencontré aucun souci avec cet enrouleur.

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  • 30 juillet 2016 22:57, par achab écrire     UP  image

    Merci des commentaires, fort utiles.
    Il reste à voir ce que donnera le produit-vaisselle sur les bagues. Je donnerai des nouvelles en octobre après la seconde période de navigation.
    A ma connaissance le mastinox n’existe plus (dangereux pour l’utilisateur). Mon idée est plutôt de démonter et bourrer de graisse régulièrement ces foutus boulons de 100 mm qui m’ont causé des soucis.
    En relisant la doc Facnor, je vois qu’ils conseillent de graisser la vis qui solidarise l’avale-ridoir et le tube, ainsi que les boulons qui solidarisent le moyeu avec la cadène d’étai. Donc ils prévoient que l’on sorte l’ensemble moyeu-tambour, mais pas qu’on le démonte !
    J’en profite pour préciser que sortir cet ensemble n’est pas trivial car il faut désolidariser l’étai de sa cadène. Il n’est peut-être pas inutile de rappeler quelques principes : mollir à fond le pataras, assurer le mat sur l’avant avec deux drisses et si l’équipage est un peu nombreux, poser des pancartes d’interdiction sur les taquets qui tiennent les drisses !

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    • 31 juillet 2016 07:13, par Négofol écrire     UP     Ce message répond à ... Animateur

      Le Mastinox existe toujours, mais dans le circuit des fournisseurs aéronautiques (Aviatec, Interturbine) ou chimie spécialisée.

      http://www.plaisance-pratique.com/f...

      A noter qu’un substitut moins toxique au classique 6856K, le CA1010 vient d’être homologué (01/2015) chez Airbus :

      Mastinox Substitute
      Airbus Helicopters Inc. is pleased to announce that Mastinox 6856K now has a nontoxic substitute that is chromate-free. CA1010 Mastinox has been qualified by Airbus Helicopters (France) and Airbus Helicopters Deutschland as providing the same level of dissimilar metal protection that 6856K provides.

      Répondre à ce message

  • Blocage d’un enrouleur Profurl

    Ce n’était pas le corps de la tourelle, ni l’émerillon, que l’on pouvait logiquement suspecter, qui ont lâchés, mais la tête de gaine, composée de l’écarteur (multitop), des deux demi-paliers, de l’éclipse et de la demi lune de blocage qui ont cédés. Ce qui n’était visible qu’une fois démonté l’enrouleur et son étai.
    Ce qui s’est probablement passé dans le mauvais clapot du détroit de Messine

    • Le multitop qui ne tient que par serrage de deux demi coques sur l’étai, est descendu en butée sur la demi lune maintenant les deux demi paliers et l’éclipse supérieure
    • Sous les chocs, la demi lune a cédé, libérant les demi paliers
    • Le multitop a continué de descendre, enfonçant les demi paliers et l’éclipse à l’intérieur du tube (ils doivent encore s’y trouver)
    • libéré de sa tenue centrale, le tube est venu se coincer contre le câble, bloqué par le multitop.

    Le tout est devenu indesserable. Impossible de faire tourner l’enrouleur.

    Michel

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  • Mon enrouleur de génois Selden est monté.

    J’ai préféré Selden, pour la qualité de ses concessionnaires, du moins, ici en Calabre. Profurl est très mal disrtibué, et son offre hétérogène. A l’opposé, Selden offre des pack clairs et bien décrits, avec en principe (je l’espère) la qualité suédoise

    • l’Offre Profurl, une fois les options d’installation sous le pont, se montait à 2.500 euros, sans le remplacement du câble de l’étai (10mm²).
    • l’Ofre Selden se chiffre à 2.400 euros, après rabais de 20%, sur un pack Selden complet :
      • Furlex est livré en kit complet comprenant tous les éléments nécessaires
      • Câbles acier inox monotorons 1 x 19, en 8 mm, pré manchonné pour sa partie haute
      • Un embout Norseman ajustant la longueur de l’étais, pour sa partie basse
      • Ridoir intégré permettant un jeu de 80 mm
      • Etc, etc... y compris les filières et la bosse d’enroulement

    - 
    J’ai une prise de risque, avec le diamètre de l’étai, je suis à la limite de tolérance donnée par Selden pour un étai de 8 mm : 10 tonnes et 12 m de longueur... Mais pour passer à la taille supérieure, avec le modèle 304 S, et un étai de 10 mm, il fallait compter 4.000 euros, ce qui limite sérieusement mon retour sur investissement à 75 ans !!!
    Pour mémoire, la résistance à la rupture donnée par Lavac pour du monotoron 19 inox, est de 5.400 kg pour du 8 mm et de 8.400 kg pour du 10 mm... Et personne n’indique de CMU

    - 
    J’ai du payer 700 euros de main d’oeuvre et de transport suplémentaires. Cerise sur le gateau, j’ai fait l’erreur classique de mal calculer l’angle d’enroulement de la drisse en tête de mat (voir les photos jointes). Au résultat, il m’a fallu grimper en tête de mat pour la 24 ème fois et placer une manille (assurée avec un lien) sur mon point d’ancrage de trinquette inutilisée. C’est une solution de dépannage, qui devrait durer quelques temps !!! La solution classique étant d’installer un pontet servant d’écarteur sur le mat. Ce qui supposait de monter outre le pontet et deux rivets pop, la riveteuse et la perceuse... A 17 m d’altitude... Non, non !!!
    Gag, il m’a fallu trouver de l’aide sur place pour m’envoyer en l’air. Les responsables du petit port calabrais où je me trouve, se sont proposés. Je leur ai expliqué comment gérer la drisse de montée au winch, et celle de sécurité... Quand il fallu redescendre, ils ne savaient pas comment relâcher la tension de la drisse de montée...
    Cà fait tout drôle, vu de là haut !!! :-O

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  • Bonjour, d’ Almeiria ( Andalousie)

    Je crois donc pouvoir déduire des contributions ci dessus dont celle de Michel, qu’une dépose préventive des enrouleurs pour contrôle , devrait être un investissement utile et faire partie du contrôle au retour d’une croisière prolongée.
    Je met donc ça au programme de l’hiver.
    Profurl de 23 ans, déposé / contrôlé, avec démontage, sans autre intervention, il y a 6 ans et 4 transats depuis. Pas de souci, mais je dispose d’une trinquette sur enrouleur , dont la facilité de mise en oeuvre épargne considérablement le génois et son enrouleur.

    Francois.

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  • 28 septembre 2016 18:42, par pacolarame écrire     UP

    Bonjour,

    Je n’ai même pas eu besoin d’attendre la révision.
    L’enrouleur n’a pas voulu attaquer une 23eme année . La tourelle s’est ouverte comme une boite de conserve . Tout était à refaire à l’intérieur , sans garantie de pouvoir refermer de façon durable et pouvoir étarquer ;
    J’ai donc moi aussi renoncé à ’acharnement thérapeutique , mais par contre profité de la négociation habituelle de remplacement dans la marque. Au final, résultat équivalent d’une marque à l’autre.
    L’adaptation s’est donc faite sans difficulté et surtout , ça tourne tout seul. Ce qui est bien agréable.
    Joli budget quand même comme bien décrit par Michel Yoruk.

    Francois.

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  • 30 septembre 2016 21:23, par achab écrire     UP  image

    Juste pour dire que le traitement opéré en juillet sur mon FACNOR donne satisfaction après 4 semaines de navigation. Nous avons retrouvé le plaisir d’ajuster la voilure et de bien enrouler juste avant d’entrer au port !

    Répondre à ce message

    • Bonjour et merci pour cet excellent article !

      J’ai tout essayé pour dévisser les 4 longs boulons qui traversent le tambour (dégrippant, chauffer au chalumeau, refroidir à la bombe de froid, clé à choc...)
      Rien n’y a fait.
      J’ai maintenant fait sauté les têtes, mais rien ne bouge encore. d’après les photos, la flasque supérieure du tambour devrait d’enlever ?
      Tout conseil bienvenu !
      Merci

      Répondre à ce message

      • Bonjour
        Il me semble qu après dépose de l aval ridoir’ j avais pu mettre un pince étau sur les vis récalcitrantes et moult dégrippant. Des coups de marteau aident aussi.
        Cinq ans déjà. Merci de me faire penser à contrôler mes vis !
        Achab

        Répondre à ce message

        • Merci pour la réponse.
          J’ai aussi la version avec avale ridoir long.
          J’ai fait sauté les 4 têtes des vis traversantes du tambour.

          Mais je ne suis pas certain des différents emboitements. En ayant simplement fait sauté ces 4 têtes, je dois pouvoir retirer d’un bloc [la flasque supérieure, la partie conique avec la manille lyre et l’avale ridoir ] ? C’est bien cela ?
          Je dois pouvoir écarter les 2 flasques haute et basse ?
          Je manque un peu de point pour effectuer cette traction...

          NB dans le doute j’ai aussi fait sauter (percer dans l’axe) la vis situé juste au dessus du cone, à l’opposé de la manille lyre, mais je pense que c’est inutile

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          • Oui maintenant que l avale solidaire du tube est desolalidarise du tambour.’ vous devez sortir le tambour par le bas. Ceci suppose de tenir le mat sur l’ avant avec une drisse. Voir les conseils dans l’article.
            Une fois le tambour sorti vous pouvez travailler dessus à votre etabli
            (Tapper dégripper)
            Pour vous donner du courage sachez que 5 ans après l enrouleur fonctionne au top et les vis de remplacement sont bien mobiles dans leur lit de graisse

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            • Question d’un nul : quelle graisse utiliser pour des pièces exposées 5 ans et plus à l’atmosphère marine.
              Je sais déjà qu’il faut bannir la graisse graphitée sur les bateaux marins, mais les autres ? lithium ? graisse de Belleville, ... dans mon jeune temps c’était le galipot (1/3 suif, 1/3 céruse, 1/3 blanc de zinc) mais impraticable depuis longtemps pour cause de détournement par des empoisonneuses (céruse = carbonate de plomb, toxique)

              Merci d’éclairer ma lanterne.

              Yves.

              PS : Facnor, de mémoire, sont à Saint Vaast la Hougue, ils ont le téléphone et ils sont très coopératifs, de mémoire.

              Répondre à ce message

            • J’ai réussi à enlever la flasque supérieure et l’avale ridoir. Il me reste des moignons de 5mm à 1cm environ.
              C’est peu et surtout je pense que c’est électrolysé sur toute la longueur. Je n’ai pas réussi à tourner à la pince-étau., peut etre en usinant un petit méplat pour une meilleure prise ?
              A suivre encore...

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              • Bonjour,
                quelle galère en effet. Avez-vous essayé ma suggestion de sortir le tambour et de taper sur les vis tout en mettant du dégrippant ?
                Si ça ne réussit pas, mon idée serait d’araser ces foutues vis et de faire repercer le tambour dans un atelier équipé pour ça.
                Pour la marque de la graisse (autre message), je ne suis pas à bord, donc je ne sais pas. Je pense qu’il s’agit simplement d’une graisse résistante à l’eau. J’utilise le même tube pour le guindeau (aussi à regraisser régulièrement si on ne veut pas se retrouver avec un barbotin collé à l’axe).
                Bon courage.

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