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Accueil du site > Forum technique > Cartographie -forum- > Ouverture du forum cartographie

Rubrique : Cartographie -forum-

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Ouverture du forum cartographieVersion imprimable de cet article Version imprimable

Publié Avril 2012, (màj Avril 2012) par : Modérateur   

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18 Messages de forum

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  • 28 avril 2012 06:46, par yoruk écrire     UP Animateur

    Bonjour, avant que çà ne devienne trop complexe, ne peut-on réfléchir à la dénomination des cartes que nous pouvons créer. Sur les côtes françaises, les noms sont relativement logiques et liés à la topographie. Il n’y a qu’un seul golfe du Morbihan !!!
    En méditerranée orientale, on vite se retrouver face à la complexité historique. Ce que l’on appelle couramment le Golfe de Bodrum, peut s’orthographier :

    • Golfe de Gökova
    • Gökova Korfezi voire Goekova Koerfezi
    • Kerme Korfezi
    • Golfe de Kos
    • Ceramic Gulf
    • Golfe antique de keramos

    Si nous nous retrouvons avec plusieurs auteurs, sur une même zone, et çà va bientôt être mon cas, le classement des cartes par ordre alphabétique trouvera vite ses limites. Je propose d’indexer les noms des cartes par sa géo-localisation simplifiée en préambule. On pourrait retenir celle de l’angle SW des cartes. Ainsi Golfe de Gökova deviendrait « 36-48N_27-25E Goekova Koerfezi » ou « 36-48N_27-25E Kerme Korfezi », etc…
    Ainsi classé, on aura une chance d’y retrouver ses petits…
    Bon… c’est une idée… à développer peut être… Maintenant je lève l’ancre depuis Uçagiz vers :

    • Castellorizo
    • Kastellorizou
    • Meyisti
    • Meis
    • 36-07N_29-33E Castellorizo

    Michel

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    Répondre à ce message

  • 28 avril 2012 09:25, par Pil-Poil écrire     UP

    Yoruk, je suppose que tu parles des cartes « Google Earth » dont nous avons maintenant environ 200 exemplaires proposés par les internautes : http://www.plaisance-pratique.com/-...

    En fait, l’histoire des forum montre bien la difficulté du classement des contributions, quelle que soit la méthode et l’objet des contributions. Celle que tu proposes aura les faiblesses communes à toutes les méthodes :

    • on ne peut pas imposer une façon de nommer les cartes à des bénévoles qui veulent bien partager leur savoir ou leurs productions.
    • que le nom soit géographique ou en coordonnées, il y aura des erreurs, des oublis, et les « coins » définissant la carte de seront guère « parlants » pour trouver une carte donnée.

    Il n’y a qu’un moyen universel qui marche dans ce cas, c’est un bon moteur de recherche. Dans le cas des cartes, le moteur ne doit pas porter sur le nom de la carte, mais il doit chercher si le point qui m’intéresse est dans la zone couverte par une ou plusieurs cartes disponibles.

    Or ce moteur de recherche existe dans tous les logiciels de cartographie, par exemple dans SeaClear et OpenCPN (gratuits tous deux).

    Principe :

    • on charge toutes les cartes Google Earth dans la bibliothèque du logiciel utilisé
    • Par exemple, dans SeaClear, on prend une carte routière de grande étendue, clic droit sur un point précis, et on a immédiatement la liste des cartes disponibles à ce point, y compris les cartes Google Earth disponibles.
    • Par exemple dans OpenCPN, sur une routière de grande envergure, on a un rectangle rouge automatiquement dessiné pour les cartes disponibles et on voit instantanément si le lieu convoité est couvert par une carte GoogleEarth.

    Rien de plus simple, absolument imparable et efficacité garantie de trouver la bonne carte !

    Evidemment, on pourrait reconstruire dans PTP un tel moteur de recherche interactif, mais quel intérêt ? Ce sera toujours moins bon que la même fonction dans un bon logiciel de cartographie dont on a l’habitude quotidienne :-)

    Répondre à ce message

    • 28 avril 2012 11:42, par yoruk écrire     UP     Ce message répond à ... Animateur

      Robert, deux objections,
      1) Pour les cartes .kap (donc les fusions/transparences de GE2KAP) : il est impossible (dans tous les cas très difficile) de stocker de nombreuses cartes rasters actives, donc visibles par leurs marges, avec les moyens informatiques limités du bord. Ce qui peut se faire avec une machine puissante à la maison, devient rapidement très limité à bord. Il faut donc un index pour charger les cartes dont on aura besoin. L’architecture type étant :

      • Un dossier d’utilisation des cartes actives, dans lequel on mettra les cartes à utiliser. Encore faut il savoir les quelles
      • Un deuxième dossier dans lequel on stockera les cartes disponibles du bord… Encore faut il savoir comment elles s’appellent, et ou elles se trouvent…

      2) Le deuxième problème et il est incontournable, ici, sera le nom donné à une carte par son auteur… et là aucun moteur de recherche ne saura faire la différence entre

      • Castellorizo (c’est son nom italien)
      • Kastellorizou (c’est son nom grec)
      • Meis (c’est son nom turc)

      Répondre à ce message

      • 28 avril 2012 12:02, par yoruk écrire     UP     Ce message répond à ... Animateur

        Nota Bene
        Pour la puissance nécessaire au stockage des cartes rasters, je parlais pour OpenCPN que je connais bien et non pour SeaClear que je connais peu...

        Répondre à ce message

      • 28 avril 2012 12:17, par Pil-Poil écrire     UP     Ce message répond à ...

        En pratique, avec mon vieux portable Dell d’il y a 3 ans, je viens de faire le test : j’ai stocké simultanément en visualisation sans problème avec OpenCPN

        • 118 cartes GO de « JP » Grèce et Turquie. Ce qui m’a permis de faire l’image de l’article qui rassemble ces 118 cartes : http://www.plaisance-pratique.com/I...
        • 234 cartes BSB du Shom couvrant la Méd française
        • 16 carte GO « Elbe » de JP
        • 202 cartes GO de Bretagne

        Soit un total de 570 cartes à la fois, sans aucun signe de mécontentement d’OpenCPN (V2.5) . Avec SeaClear c’est pareil, d’autant plus que SeaClear ne met pas les cartes en RAM, mais il met en RAM seulement leur cadre. Je suppose qu’OpenCPN fait la même chose en reconstruisant sa bibliothèque, sinon OpenCPN serait mal fichu, ce que je n’ose imaginer ... :-)

        Amha, le problème principal sera comme de coutume :

        • Inciter de nombreux plaisanciers à créer des cartes Google Earth. Et même sans contrainte de nom ou de classement, c’est pas gagné
        • Inciter de nombreux plaisanciers à mettre leurs cartes Google Earth à disposition des autres plaisanciers. c’est pas gagné non plus

        Moins il y aura de contraintes pour le créateur des cartes et pour l’utilisateur, plus on optimise les chances de créer une bibliothèque significative.

        Ensuite si la bibliothèque devient énorme, la charge de rangement et le moteur de recherche revient au collecteur.

        Tu dis : « Le deuxième problème et il est incontournable, ici, sera le nom donné à une carte par son auteur… et là aucun moteur de recherche ne saura faire la différence entre »

        C’est ce que j’expliquais dans mon message précédent : le moteur de recherche ne peut pas porter sur le nom, qu’il soit en clair ou en codé. Il doit porter sur le fait que l’endroit qui m’intéresse est ou n’est pas dans l’une ou l’autre des cartes. C’est ce que font les bons logiciels de navigation et cela élimine toutes les erreurs de nommage. Et pour que ce moteur de recherche fonctionne, il n’y a pas besoin d’ajouter quelque chose dans le nom : car le « cadre » qui délimite la carte est écrit dans la carte elle-même et en clair dans le format « kap »

        Répondre à ce message

  • 30 avril 2012 11:26, par Nevermind écrire     UP

    Bonjour Robert,
    Comment fais-tu pour charger une carte ?
    Je ne vois pas de lien entre le cadre rouge et la carte.
    Pour résumer, si je clique sur une carte rouge je charge toutes les cartes en html.
    Merci de m’éclairer.
    JP

    Répondre à ce message

    • 30 avril 2012 11:37, par yoruk écrire     UP     Ce message répond à ... Animateur

      En attendant Robert...
      L’image donnée sur PTP n’est qu’une copie d’écran de ce que tu auras sur ton ordinateur quand tu auras téléchargé toutes les cartes décompressées...
      exemple ci dessous avec ce que je prépare sur la zone entre Kalkan et Bozburun
      Là tu pourra cliquer sur les cartes qui s’afficheront... si j’ai bien compris ta question

      JPEG

      Répondre à ce message

    • Bonjour Jean Paul,

      Je ne suis pas sûr d’avoir bien compris la question. ll s’agit de charger la carte sur OpenCPN ?

      • Sur PTP télécharger le « zip » des cartes souhaitées en cliquant sur le lien d’une carte ou du package de toutes les cartes de la zone.
      • désipper les cartes dans un répertoire
      • dans OpenCPN ajouter ce répertoire aux cartes (menu : outils-cartes)
      • zoomer sur la zone voulue
      • cliquer sur l’une des barres du bas de la carte pour voir soit le cadre rouge soit la carte Google earth

      Mais je ne suis pas sûr que c’est une réponse à la question, car je ne comprends pas la question du chargement en html ?

      JPEG

      Répondre à ce message

      • Je n’ai été assez clair.
        Exemple :

        • je suis sur PTP,
        • j’ouvre un article sur les cartes Google,
        • les fichiers nippés sont en liste
        • la carte open est à droite avec ses carrés rouge (copie d’écran open),

        Actuellement deux choix s’imposent : tu charges la totalité des cartes ou séparément à partir de la liste.

        je suis parti des réflexions de Michel concernant le classement des cartes, des différences de noms des lieux, pas toujours facile de s’y retrouver.

        Le plus sûr étant la carte open pour le choix des différentes cartes,
        Maintenant, est ce qu’il est possible de créer un troisième choix.

        Tu cliques sur la cartes open dans le carré que tu veux charger et seulement celle là ?
        Cela suppose un grand nombres de liens.

        Est ce justifié ? Surtout si c’est toi qui fait le boulot.
        Voilà ma réflexion.
        JP

        Pour l’html, c’est une erreur, c’est juste le lien vers la carte open.

        Répondre à ce message

        • OK, je comprends la question.

          En fait, ce que tu décris c’est le début d’un moteur de recherche tel que je le décrivais un peu plus haut dans le fil : « le moteur ne doit pas porter sur le nom de la carte, mais il doit chercher si le point qui m’intéresse est dans la zone couverte par une ou plusieurs cartes disponibles. »

          • Si on veut atteindre cet objectif par l’image affichée sur le site, on crée une image interactive qui associe un lien vers une carte à chaque rectangle rouge de l’image. C’est un procédé classique en effet. L’inconvénient, c’est que c’est plutôt statique et lourd à gérer si le contenu évolue souvent, puisqu’il faut reconstruire une nouvelle image à chaque modification de contenu.
            - 
            Le procédé se prête bien à un catalogue de cartes quasi immuable tels que les catalogues des éditeurs professionnels.
            - 
          • L’organigramme d’un véritable moteur de recherche insensible aux ajouts successifs de cartes serait le suivant :
            • on affiche une carte du monde, zoomable, typiquement la carte de Google Earth
              - 
            • le lecteur du site clique sur un point du trait de côte (un port, un mouillage, etc ...), le logiciel de PTP récupère les latitude-longitude de ce point et scanne la base de donnée de PTP pour voir s’il trouve une carte KAP qui contient ce point cliqué (quel que soit l’auteur -donc le répertoire de stockage- de cette carte KAP-Google-Earth).
              - 
            • on note que cela ne dépendra pas du nom du fichier KAP, car la recherche ne se fera pas sur le nom mais sur le contenu du fichier KAP.
              - 
          • En pratique,
            • tant que le nombre de cartes est faible (quelques centaines, voire un ou deux milliers) il est plus simple de reporter la charge de la sélection sur le lecteur de PTP, en l’obligeant à charger plus de cartes qu’il n’en a besoin et à les examiner avec son logiciel de cartographie qui contient le moteur de recherche tel que décrit plus haut.
              - 
            • lorsqu’il aura quelque dizaine de milliers de cartes (j’en doute fort !) il faudra alors un véritable moteur de recherche comme je viens de le décrire ...mais il faudra aussi un protocole de dépôt des cartes ne nécessitant pas l’intervention d’un humain (de l’équipe de PTP) comme c’est le cas actuellement.

          Répondre à ce message

  • 14 novembre 2012 09:57, par marc76 écrire     UP  image

    Bnjour à tous

    je suis peut être un peu bête , mais je me pose une question
    pourquoi indiquer que les cartes ne doivent pas être utilisées en navigation
    alors qu’elle est l’interêt de ces cartes ?.
    ou ce n’est que pour se décharger de toutes responsabilités en cas de naufrage ?.
    car faire un tel travail pour ne pas les utiliser !

    Répondre à ce message

    • 14 novembre 2012 10:14, par Pil-Poil écrire     UP     Ce message répond à ...

      Les cartes à bord d’un bateau sont :

      • soit des cartes officielles, et en cas de problème la responsabilité de l’éditeur des cartes est engagée.
      • soit des cartes « fait maison » avec diverses méthodes (digitalisation des cartes papier, cartes Google Earth, etc ..). Dans ce cas :
        • si on les a faites soi-même en cas d’erreur on ne peut s’en prendre qu’à soi-même. Mais bien souvent on peut grâce au « self made » corriger des erreurs ou faire des mises à jour de cartes officielles et les améliorer sous sa propre responsabilité.
        • si un autre les a faites, et si on s’en sert on ne peut pas s’en prendre à celui qui les a faites puisque ce ne sont pas des cartes officielles. Mais l’intérêt est d’avoir été rendu attentif au fait qu’il y a localement des erreurs de cartographie, et que ça vaut la peine de vérifier soi-même pour revenir au cas précédent :-)

      Répondre à ce message

      • 14 novembre 2012 11:16, par yoruk écrire     UP     Ce message répond à ... Animateur

        Bonjour à tous, et merci Robert de cette synthèse…parfaite !!!!

        Je travaille en ce moment sur le dossier des cartes vectorielles (la norme S57 de l’IHO), et sur leurs cousines les CM93 v2 dont parle Robert. Je sortirai un dossier sous peu. Mais dès à présent, on peut constater

        • Nous avons tendance à faire une confusion avec les CM93, en fonction de nos habitudes d’utilisation
          • Elles peuvent être pratiquement exactes, digitalisées depuis des cartes nationales précises, ce qui est le cas des côtes françaises, ou encore des côtes Est-américaine, pour ce que j’ai pu tester. Utilisées par le plus grand nombre d’entre nous, ils comprennent difficilement nos critiques
          • Ces critiques viennent de gens navigant dans des eaux plus lointaines, souvent mal cartographiées (C-map prévient en permanence de l’ancienneté des relevés, certains du 19ème siècle !!!). Ajoutez à cela le fait que les digitalisation des différentes couches n’ont pas été toutes menées avec rigueur, pour des zones peu fréquentées, à l’époque, et vous retrouvez avec des cartes … bizarres, dont les moyens modernes de navigation, ECDIS + GPS, font ressortir les défauts… criants…
        • certains éditeurs de cartes seront plus précis, c’est en particulier le cas de Navionics… mais incompatibles avec OpenCPN… Open Source et… gratuit…

        L’édition de cartes en fusion/transparence et le support Google Earth, parfaitement géo référencé, apportent une sécurité, mais… et on ne l’avait pas vu venir

        • Si cette fusion/transparence n’a pas été crée par l’utilisateur,
          • On ignorera avec quelle version CM93 elle a été établie
          • On ignorera, et c’est beaucoup plus grave, si elle a été établie en pieds, en brasses ou en mètres. Je travaille en ce moment à la mise à jour du tutoriel avec la dernière version OpenCPN v 3.1.1105, et je me suis rendu compte qu’il existait la possibilité d’effacer la présence des valeurs de mesure sur la carte. On peut très bien se retrouver avec une carte fusion/transparence récupérée sur le web, établie en fathom, avec des sondes exploitées en métrique sur la CM93 v2 2011, sur laquelle on travaille en mosaïque… C‘est tout simplement « casse gueule »
          • On ignorera aussi la date de création de la carte, sans moyen d’apprécier sa mise à jour
        • C’est pourquoi il me semble plus intéressant et sécurisant, d’établir soit même ses cartes fusion/transparence, qui permettront de critiquer sa carte, et d’en tirer les conséquences.

        Dans ce cadre, l’utilisation de fusion/transparences, devenues faciles et rapides à réaliser doit se limiter à une aide à la navigation, sous la responsabilité du skipper… Et c’est un produit jetable… A refaire périodiquement. Mais encore une fois, c’est devenu d’une réelle simplicité…

        Cordialement
        Michel

        NB La copie d’écran jointe a été établie avec une CM93 à jour (2011) et lisant une fusion/transparence juste, mais établie avec une CM93 de 1998... fausse...

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        • 14 novembre 2012 11:22, par yoruk écrire     UP     Ce message répond à ... Animateur

          Et, la même zone lue par une CM93 2011 « juste » et lisant une fusion/transparence juste établie avec une CM93 2011 juste...

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          • 14 novembre 2012 15:12, par Nevermind écrire     UP     Ce message répond à ...

            Bonjour Michel,
            Comment tu ouvres la fenêtre d’ajustement des cartes CM93 ?
            Avec un clic dt sur la carte, voici ce que j’ai.
            JP

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            • 14 novembre 2012 16:15, par yoruk écrire     UP     Ce message répond à ... Animateur

              Bonjour
              Pour faire apparaître toutes les propriétés d’une carte, il faut activer l’option ‘’Chart Information Object’’ dans l’onglet ‘’carte vectorielle’’ de la rubrique ‘’carte’’ de la boite à outil… renommée, et c’est à se tordre de rire : ‘’Options propres à l’utilisateur’’ pour la v3.1.1105 … Ouf…. ***
              On fait un double clic gauche pour faire apparaître cette fenêtre

              Pour faire apparaître la fenêtre de compensation géodésique, il faut désactiver la commande ‘’Autoriser l’affichage en mosaïque’’ dans l’onglet ‘’Affichage concernant les cibles’’ (là aussi mort de rire, il fallait traduire par ‘’options d’édition de la cartographie’’), toujours dans l’ex boite à outil, mais néanmoins actuelle ‘’Options propres à l’utilisateur’’ toujours mort de rire… On fait apparaître une fenêtre contextuelle par un clic droit sur la carte, puis on valide ‘’CM93 Offset Dialogue’’ pour faire apparaître le plus fabuleux fantasme d’instruit imaginable, en mer, sur un bateau qui bouge : la possibilité de modifier soi même, manuellement les valeurs de compensations géodésiques… Or, il faut modifier toutes les couches, or il y a des dizaines de couches (autant que de cartes C-map) sur une zone comme celle du Golfe de Bodrum… Full délire Geeks, qui manifestement a peu navigué…

              Michel énervé…
              *** Je refais tout le tutoriel, pour la dernière version OpenCPN… Ils ont tout modifié, il n’y a plus grand-chose qui cadre

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