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Mouillage forain en Méditerranée orientale 27 mai 2012 04:58, par yorukBonjour,
D’expérience, il faut considérer : l’amarre sur toute sa longueur, exactement comme une pendille.
Si on doit quitter le mouillage, accroché par deux aussières à la côte, sans avoir le temps d’aller les larguer à terre, mieux vaut, le temps que l’on manœuvre, ne pas avoir de bout flottants, en proximité. Par contre ce type de cordage offre l’avantage de sa praticité, en quittant un mouillage de manière organisée. Le barreur n’a pas alors à se préoccuper de trop de la récupération immédiate de ses bouts… Ça peut attendre quelques instants, surtout s’il est solo… (encore faut il ne pas avoir à faire de marche AR inopinément !!)
La conformation du bateau aura aussi de l’importance. Sur Laorana, avec un cockpit ouvert à l’arrière et la barre de grande dimension, il est facile de gérer les manœuvres, en même temps que la récupération des amarres arrière… Sur un bateau avec un cockpit central, on aura d’autres contraintes
Je ne l’ai pas fait, car tout seul il m’arrive rarement de passer des amarres à terre. Mais si cela devenait nécessaire, je préparerai deux cordages mixtes : bout + chaîne (trois ou quatre morceaux de 1 mètre de chaîne chacun), de façon à les faire plonger sans difficulté, tout en assurant un bon amortissement du clapot au mouillage. Le Voyage 12.50 est équipé d’un davier fixe, à roulette, à l’arrière (c’est un vrai ‘’plus’’)…