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Utiliser le GPS du téléphone Androïd dans OpenCPN, connecté en bluetooth 3 décembre 2014 12:16, par yvesD(formation ) un routeur est une boite qui prend du trafic sur une interface d’entrée (par ex l’interface associée au réseau 3G) et re-émet ce trafic sur une autre interface (par ex l’interface WiFi du boitier évoqué) en fonction de l’adresse IP de destination. Note : dans l’exemple, le même routeur saura re-émettre le trafic reçu sur l’interface WiFi vers l’interface 3G, pour le trafic sortant du bateau.
Cette fonction de routage entre un réseau 3G et un réseau WiFi (interne au bateau, mais pas obligatoire) est assurée par ces petits boitiers à 50€ dont on parle ici, et aussi par les smartphone lorsqu’on les configure pour ça
Mini routeur en cotiere, en captant la 3 ou 4 G et rediffusion interne avec sa wifi
Tout à fait exact.
Les ondes radio du 3G ou du 4G transporte des informations (voix, internet) découpées en fragments (les paquets, avec leur adresse IP) reassemblés avant utilisation finale (voix, http, mail, ...).
je vais etre obligé de changer de telephone portable
Que nenni, mais les fonctionalités ne seront pas les mêmes.
Avec mon vieux nokia 2630 (ou son équivalent étanche et jaune vendu par les ship) je pouvais bien sur téléphoner mais pas faire du trafic internet. Du coup j’avais équipé mon PC d’une clef USB 3G dans laquelle j’insérais une carte SIM « à gratter » (Pass Let’s Go, 20€ pour un mois et 1Go de trafic), et avais installé le logiciel ad-hoc (Business everywhere), ce qui me permettait depuis ce PC de trafiquer (grib, mél, gogol, PTP ...). Mes équipiers s’ils voulaient trafiquer à mes frais devait utiliser mon PC
Un commercial de l’ex-operateur historique m’a convaincu, pour une somme misérable, de me doter d’un smarphone fragile, rayable, non étanche et objet de convoitise (pour les pickpockets) qui me permet encore de téléphoner et (avec forfait) de trafiquer depuis l’écran indigent de ce smartphone en utilisant la maigre batterie de ce dernier. J’aurai pu jeter ma clé 3G.
J’ai préféré payer (5€/mois) pour avoir une deuxième SIM que je glisse dans la clé 3G déjà existante, et utiliser, pour trafiquer, mon PC avec sa solide batterie et toujours branché au 220V (du quai ou onduleur).
Mais, comme dit précédemment, j’aurai pu utiliser mon smartphone (et sa maigre batterie) pour faire le relai entre le 3G et le WiFi interne au bateau (sans 2ème carte SIM). J’aurai pu aussi (et je le ferai un de ces 4) acheter ce petit boitier à 50€ qui rempli la même fonction (avec une 2ème carte SIM bien sur) et que je raccorderai directement (et en dur) aux batteries du bateau.
Concernant le déblocage : aussi bien les smartphone que les boitiers à 50€ et que les clé 3G peuvent être bloqués pendant les quelques premiers mois après l’achat pour n’être utilisable qu’avec les SIM de l’opérateur-vendeur. Une fois débloqué ils sont utilisable avec un autre opérateur que celui qui dit avoir subventionné ton achat, et donc utilisable aussi à l’étranger.
A vérifier en vrai car s’il reste bloqué, un code est à demander à l’opérateur initial pour dé-simlocker (débloquer) l’objet avant d’y glisser une SIM locale acheté chez un opérateur local (turc, grec, fidjien, ...).
Voilà, qu’est-ce que j’oublie ?