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Pratiques et Techniques de la Plaisance

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Accueil du site > Articles > En navigation > Divers > Collision en mer : closest point of approach. De la théorie à la pratique

Rubrique : Divers

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Collision en mer : closest point of approach. De la théorie à la pratiqueVersion imprimable de cet article Version imprimable

Publié Novembre 2011, (màj Décembre 2011) par : annaig  image   

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Mots-clés secondaires: sécurité , électronique

The Closest Point of Approach ( CPA ). De la théorie à la pratique.

Le marché de l’AIS est considérable pour les bateaux de moins de 300 t pour lesquels l’équipement selon la norme A n’est pas obligatoire. L’usage de l’AIS B, aux normes moins contraignantes, se généralise et touche la plaisance. Les prix des récepteurs-émetteurs AIS chutent rapidement, ils intègrent le plus souvent un dispositif anticollision.

Cette dissémination de l’équipement AIS ne devrait pas s’accompagner d’une perte chez les plaisanciers de notions fondamentales de navigation. Parmi celles ci, le CPA, the closest point of approach, est la notion centrale des dispositifs anticollision. Un peu de théorie vous permettra peut-être de ne pas paniquer si les circonstances ne s’accordent pas avec les prévisions. Un fil récent sur le site parlons-bateau montre que cette démarche est partagée ; aussi j’espère que le lecteur sera sensible à l’effort didactique de la note et qu’il voudra bien pardonner ses imperfections..

Wikipedia donne comme définition du CPA2 : point estimé où la distance entre deux mobiles (dont au moins l’un est en mouvement) atteindra sa valeur minimale sera appelé CPA. Cette estimation est utilisé pour évaluer le risque de collision de deux navires. [remarquons que cette définition précise bien qu’il s’agit d’un point estimé]

NDLR : Le texte nécessitant diverses notations et équations peu commodes à mettre en page sur le site, le texte dans son intégralité est joint sous forme « PdF ».
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Les notions abordées concernent les unités, les bases de l’algorithme, une construction géométrique simple, un exemple pratique.
PDF - 954.5 ko

Des références détaillées sont également indiquées dans le texte :

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3 Messages de forum

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  • Comme le relate le marin de la royale de « parlons bateaux »,j’etais aussi detecteur dans la royale.
    A l’epoque nous n’avions pas tous ces appareils ni les formules qui vont avec ,et le CPA,qui pour nos instructeurs etait le « point de collision » n’etait pas calculé,mais directement « plotté » ,ecrit au crayon gras sur le scope .
    Quand deux ou trois relevements passaient par le centre de l’alidade ,c’etait une route de collision et ,soit on manoeuvrait soit on faisait manoeuvrer....
    Si ces manips datent,avec l’AIS on peut toujours s’en sortir graphiquement avec un report sur la carte et une simple regle de trois...,mais si on a un radar la vieille manip marche toujours et je ne manque pas de l’employer quand ça s’impose ......mais egalement pour le fun....puisque j’ai toujours mon crayon gras de l’epoque,mais ne le repetez pas....

    Répondre à ce message

  • quand je suis en approche d’un bateau même signalé par l’AIS avec un risque de route de collision, je fais par sécurité des relèvements réguliers avec mon compas de relèvement, si à chaque relevé l’azimut ne bouge pas, je suis en route de collision, dans ce cas j’appele le bateau par VHF

    Répondre à ce message

  • AIS pour les matheux, changement de lien

    L’adresse de ce lien :
    http://www.parlons-bateau.fr/questi...
    Ne répond plus


    On peut retrouver un lien actif à cette adresse :
    http://fr.rec.bateaux.narkive.com/i...


    Par ailleurs, merci de cette excellente définition du CPA, et rappel personnel, à mon très humble avis, des limites d’efficacité de l’AIS

    • En tant qu’émetteur, vous ne saurez jamais si vous êtes bien reçu. C’est une sérieuse limite
    • En tant que récepteur, vous ciblerez un risque potentiel de collision. Mais, pas tous les risques, beaucoup peuvent vous échapper : pêcheurs discrets, équipement en panne, gendarmerie maritime, douanes, militaires, milliardaires soucieux de discrétion, etc… la liste est longue, et ceci est une sérieuse limite . Par contre
      • L’interprétation du CPA, une fois identifié visuellement une cible vous donnera à l’écran, les moyens de pondérer votre route, où de joindre à la VHF la cible qui vous pose problème
      • Mais surtout, cette possibilité de recevoir des informations, appliquée à des transpondeurs AtoN vous permettra de caler votre estime Là, le potentiel de développement est énorme. Demain ces émetteurs fixes outre le relèvement des passes d’entrée, vous indiqueront l’heure des marées, les AVURNAV locaux, les mises à jour du SHOM, etc, etc… voire l’heure d’ouverture de la boulangerie et cerise sur la gâteau, le sourire de la boulangère…

    Là, vous ne pourrez plus dire, la plaisance… cette bâtarde ;-)

    Voir ce lien :
    http://www.plaisance-pratique.com/c...

    Michel
    NB tous les phares et balises de la côte turque sont équipé de transpondeurs AIS AtoN.

    Répondre à ce message

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